Voilà, le canari est cuit! et prêt à l'usage!
Cuisson réductrice, pas trop chaud, environ 850 degrés, puis enfumage. Pour le décor, j'ai respecté les motifs traditionnels, ce qui donne à cette pièce son charme exotique. mais c'est à l'usage que cette pièce prendra sa teinte définitive. elle deviendra plus brillante sous l'effet des graisses alimentaires et des suies et goudrons quo se déposeront sur sa panse.
Et puis, peut-être vous souvenez-vous, en arrière-plan sur la photo illustrant le premier article sur ces canaris, la bouteille gallo-romaine en cours de finition...
La voici, elle faisait partie de la même fournée...
A peu près 50 centimètre de haut...
Aujourd'hui, c'est pas de la tarte à tourner.
Pour des potiers gallo-romains, une performance!
Les originaux se trouvent au Musée Carnavalet à Paris
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